MOMETASONE FUROATE
MOMETASONE FUROATE
Introduction dans BIAM : 9/11/1999
Dernière mise à jour : 28/4/2000
Etat : validée
- Identification de la substance
- Propriétés Pharmacologiques
- Mécanismes d’action
- Effets Recherchés
- Indications thérapeutiques
- Effets secondaires
- Effets sur la descendance
- Pharmaco-Dépendance
- Contre-Indications
- Voies d’administration
- Posologie & mode d’administration
- Pharmaco-Cinétique
- Bibliographie
- Spécialités contenant la substance
Identification de la substance
Formule Chimique :
9,21-dichloro-11 bêta,17-dihydroxy-16 alfa-méthylpregna-1,4-diène-3,20-dione 17-(2-furoate)Ensemble des dénominations
BANM : MOMETASONE FUROATE
CAS : 83919-23-7
DCIMr : FUROATE DE MOMETASONE
USAN : MOMETASONE FUROATE
autre dénomination : FUROATE DE MOMETASONE
bordereau : 3153
code expérimentation : Sch-32088
dcim : furoate de mométasone
rINNM : MOMETASONE FUROATEMolécule(s) de base : MOMETASONE
- ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
- ANTIINFLAMMATOIRE STEROIDIEN (principale certaine)
- ANTIINFLAMMATOIRE LOCAL (principale certaine)
- GLUCOCORTICOIDE (principale certaine)
- ANTIALLERGIQUE (principale certaine)
Mécanismes d’action
- principal
Après fixation sur un récepteur cytosolique aux glucocorticoïdes, le complexe subit une translocation dans le noyau à l’origine d’effets génomiques par stimulation ou inhibition de la transcription de gènes à l’origine de la production de nombreux médiateurs antiinflammatoires ou pro-inflammatoires. L’expression de diverses cytokines (IL1, IL4, IL5, IL6, IL8, interféron gamma ou TNF alfa) est réduite ainsi que celle d’histamine et des leucotriènes. L’afflux de cellules de l’inflammation (mastocytes, lymphocytes T, basophiles, éosinophiles) est également réduite.
- ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
- ANTIALLERGIQUE (principal)
- RHINITE ALLERGIQUE (principale)
Rhinite allergique, saisonnière ou perannuelle, de l’adulte et de l’enfant de plus de 3 ans.
- EPISTAXIS (CERTAIN RARE)
- SENSATION DE BRULURE NASALE (CERTAIN TRES RARE)
- CANDIDOSE MUQUEUSE (CERTAIN TRES RARE)
Candidose nasale ou pharyngée.
- TERATOGENE CHEZ L’ANIMAL
- INFORMATION MANQUANTE DANS L’ESPECE HUMAINE
Les études épidémiologiques n’ont pas montré d’augmentation du risque malformatif en cas d’administration de corticoïdes par voie orale pendant le premier trimestre de la grossesse.
- HYPERSENSIBILITE A CETTE SUBSTANCE
- GROSSESSE
Information manquante. - ALLAITEMENT
Information manquante.
Voies d’administration
Posologie et mode d’administration
Doses usuelles par voie nasale :
– Adulte et enfant de plus de 12 ans : 100 microgrammes dans chaque narine une fois par jour le matin.
– Enfant de 3 à 11 ans : 50 microgrammes dans chaque narine une fois par jour le matin.
Pharmaco-Cinétique
– 1 –
DEMI VIE
6
heure(s)
voie intraveineuse
– 2 –
ELIMINATION
voie fécale
– 3 –
ELIMINATION
voie rénaleAbsorption
Très peu résorbée par la muqueuse nasale.
Demi-Vie
La demi-vie est en moyenne de 6 heures après injection IV.
Métabolisme
Métabolisée par le foie en métabolites éliminés principalement par la bile et secondairement par les urines.
Elimination
*Voie fécale.
*Voie rénale.
Bibliographie
Spécialités
Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr