METHYLPREDNISOLONE ACETATE

METHYLPREDNISOLONE ACETATE

Introduction dans BIAM : 18/2/1992
Dernière mise à jour : 23/3/2001
Etat : validée

  • Identification de la substance
  • Propriétés Pharmacologiques
  • Mécanismes d’action
  • Effets Recherchés
  • Indications thérapeutiques
  • Effets secondaires
  • Pharmaco-Dépendance
  • Précautions d’emploi
  • Contre-Indications
  • Voies d’administration
  • Posologie & mode d’administration
  • Pharmaco-Cinétique
  • Bibliographie
  • Spécialités contenant la substance

    Identification de la substance

    Formule Chimique :
    11 bêta,17 alpha,21-trihydroxy-6 alpha-méthylprégna-1,4-diène-3,20-dione 21-acétate

    Ensemble des dénominations

    BANM : METHYLPREDNISOLONE ACETATE

    CAS : 53-36-1

    DCIMr : ACETATE DE METHYLPREDNISOLONE

    autre dénomination : ACETATE DE METHYLPREDNISOLONE

    bordereau : 30

    rINNM : METHYLPREDNISOLONE ACETATE

    sel ou dérivé : METHYLPREDNISOLONE

    sel ou dérivé : METHYLPREDNISOLONE HEMISUCCINATE

    sel ou dérivé : PREDNISOLONE

    sel ou dérivé : PREDNISOLONE CAPROATE

    sel ou dérivé : PREDNISOLONE METASULFOBENZOATE SODIQUE

    sel ou dérivé : PREDNISOLONE PHOSPHATE SODIQUE

    Classes Chimiques

    Molécule(s) de base : METHYLPREDNISOLONE

    Regime : liste I

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principale certaine)
    2. ANTIINFLAMMATOIRE STEROIDIEN (principale certaine)
    3. IMMUNOSUPPRESSEUR (principale certaine)
    4. GLUCOCORTICOIDE (principale certaine)
    5. DERMOCORTICOIDE (principale certaine)
      Activité modérée à 0,25% (classe IV de la classification européenne des dermocorticoïdes).

    Mécanismes d’action

    1. principal
      L’hormone :
      – diffuse à travers la membrane cellulaire.
      – se lie à un récepteur cytosolique formant un complexe avec des protéines de chocs thermiques (HSP 90 et 70) et une immunophiline p59. Après dimérisation, le complexe stéroïde récepteur se lie à des séquences de DNA spécifiques (éléments de réponse aux corticoïdes ou GRE).
      – module la transcription des gènes sensibles aux corticoïdes par une interaction avec des facteurs de transcription (protéines cytoplasmiques ou nucléaires).
      – augmente la transcription et/ou la stabilité du RNAm codant pour des protéines responsables de l’action des glucocorticoïdes.
      – réprime certains gènes au niveau transcriptionnel en interagissant avec les facteurs nucléaires nécessaires à l’activation de ces gènes.
      – augmente la dégradation du RNAm ou inhibe la synthèse ou la sécrétion des protéines ou des cytokines.

      Les effets bilogiques de l’action anti-inflammatoire se traduisent par :
      – inhibition de la perméabilité vasculaire qui permet le recrutement des globules blancs vers le site de l’inflammation.
      – inhibition des évènements moléculaires liés à l’activation des globules blancs et à leur adhésion aux cellules endothéliales :
      * expression du complexe majeur d’histocompatibilité type II,
      * expression des molécules d’adhésion cellulaire (ELAM 1, ICAM 1),
      * la sécrétion des protéines du complément C3 et le facteur B,
      * l’activité de l’IL1,
      * l’expression des cycloexogénases de type 2 (cox2) prévenant ainsi la production de prostaglandines,
      * la production des métabolites de l’acide arachidonique pro-inflammatoire (inhibe l’activité de la phospholipase A2 en stimulant la synthèse de lipocortine ou annexine I).
      – blocage de la sécrétion d’IL 1, IL 6, TNF alpha.
      – diminution de la production et du largage des leucotriènes.
      – dépression de l’activité tumoricide et bactéride des macrophages et leur différenciation.
      – effet immunosuppresseur sur les lymphocytes T et inhibition de la sécrétion des cytokines par ces lymphocytes T.
      – inhibition de la prolifération des lymphocytes B et des cytokines impliquées dans la synthèse des immunoglobulines(IL 1 à IL 6).
      Références bibliographiques :
      – J Neuroimmunol 1992;40:281-286.
      – Am Rev Respir Dis 1990;141,Suppl:18-21.
      – Proc Natl Acad Sci USA 1992;89:3917-3921.
      – Science 1992;258:1598-1604.
      – Med Sci 1990,10:1003-1006.
      – Ann Intern Med 1993;119:1198-1208.
      – Immunol Rev 1980;51:337-357.
      – J Immunol 1980;124:2828-2833.
      – Eur J Immunol 1990;20:2439-2443.
      – Prog Biochem Pharmacol 1985;20:55-62.

    2. secondaire
      * activité granylate cyclase du récepteur qui altère le potentiel électrique des cellules.
      * stimulation de la reproduction des cellules alvéolaires de type II augmentant la production de surfactant pulmonaire :
      – J Clin Invest 1980;66:504-510.
      – Radiat Res 1988;115:543-549.
      – Radiat Res 1988;113:112-119.

    1. ANTIINFLAMMATOIRE (principal)
    2. ANTIALLERGIQUE (principal)
    3. IMMUNOSUPPRESSEUR (principal)
    4. ANTICANCEREUX(ADJUVANT) (principal)

    1. POLYARTHRITE RHUMATOIDE (principale)
      Voie générale.
    2. COLLAGENOSE (principale)
    3. MALADIE DE HORTON (principale)
    4. DOULEUR RHUMATISMALE (principale)
    5. DOULEUR POST-ZOSTERIENNE (à confirmer)
      Serait plus efficace par voie intrathécale qu’épidurale. Essai randomisé chez 29 malades. Une injection de 60 mg par semaine pendant 4 semaines :
      – Reg Anesth Pain Med 1999;24:283-285. (éditorial) et 287-293.
      Par voie intrathécale, associée à la lidocaïne. Résultats supérieurs à ceux de la lidocaïne seule :
      – N Engl J Med 2000;343:1514-1519.
      La voie intrathécale doit être réservée aux cas résistants aux autres voies d’administration :
      – N Engl Med 2000;343:1563-1567.
    6. ARTHROSE (principale)
    7. RHUMATISME ABARTICULAIRE (principale)
    8. SCIATIQUE (principale)
      Les injections épidurales n’apportent pas d’avantages à court terme et ne réduisent pas les indications chirurgicales :
      – N Engl J Med 1997;336:1634-1640.
    9. ASTHME (principale)
    10. INSUFFISANCE RESPIRATOIRE AIGUE (principale)
      Par voie IV puis orale, diminue la durée de la ventilation mécanique ainsi que la mortalité:
      – JAMA 1998;280:159-165 ET 182-183.
    11. FIBROSE (principale)
    12. SARCOIDOSE (principale)
    13. CANCER METASTASE (principale)
    14. RECTOCOLITE HEMORRAGIQUE (principale)
      En lavement.
    15. SCLEROSE EN PLAQUES (principale)
      Traitement des poussées aiguës. La voie intraveineuse ne serait pas plus efficace que la voie orale (étude randomisée chez 80 sujets) :
      – Lancet 1997;349:902-906.
      Intérêt des très fortes doses (2g/jour pendant 5 jours) :
      – Neurology 1998;50:1833-1836.
      Activité équivalente par voie orale et par voie veineuse dans le traitement des rechutes :
      – J Neurol Sci 2000;173:73-77.
    16. TRAUMATISME MEDULLAIRE (secondaire)
      Essai comparatif avec naloxone. Résultats en faveur de la méthylprednisolone injectable :
      – N Engl J Med 1990;322:1405-1411.
      Un traitement précoce, par voie IV à doses élevées, réduirait les séquelles motrices :
      – JAMA 1990;263:2150-2153.
      La récupération est meilleure si le traitement est donné pendant 48 heures pour des traumatismes datant de 3 à 8 heures (sel de méthylprednisolone non précisé) :
      – JAMA 1997;277:1597-1604.
    17. NEVRITE OPTIQUE (à confirmer)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE

      Névrite optique aiguë :
      – N Engl J Med 1992;326:581-588.

    18. SYNDROME DE GUILLAIN-BARRE (à confirmer)
      Indication très controversée (essai randomisé négatif) :
      – Lancet 1993;341:586-590.
    19. SYNDROME DU CANAL CARPIEN (à confirmer)
      Injection locale en combinaison avec la lignocaine, bons résultats dans une étude randomisée chez 60 malades. L’injection est moins dangereuse et aussi efficace si elle faite au voisinage et non dans le canal :
      – BMJ 1999;319:884-886.

    1. ULCERE GASTRODUODENAL (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ANTIINFLAMMATOIRE NON STEROIDIEN ASSOCIE
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT PROLONGE
      ULCERE GASTRO-DUODENAL ANCIEN
      ULCERE GASTRO-DUODENAL RECENT
      VOIE GENERALE
    2. GASTRODUODENITE (CERTAIN FREQUENT)
    3. INSUFFISANCE HYPOPHYSOSURRENALE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ARRET BRUTAL DU TRAITEMENT
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    4. KALIEMIE(DIMINUTION) (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    5. RETENTION HYDROSODEE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    6. ATROPHIE MUSCULAIRE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    7. RETARD DE CROISSANCE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    8. RESISTANCE AUX INFECTIONS(DIMINUTION) (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE GENERALE
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      INFILTRATIONS LOCALES SEPTIQUES

      Effet lié aux propriétés glucocorticoïdes.

    9. ARTHRITE MICROCRISTALLINE (CERTAIN RARE)
      Voie intra-articulaire
    10. ARTHRITE SEPTIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Voie intra-articulaire
    11. HYPERTENSION ARTERIELLE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE GENERALE
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE

      Plusieurs cas lors de la réduction progressive de la posologie, à la suite d’un traitement à long terme chez des enfants asthmatiques :
      – J Allerg Clin Immunol 1992;89:816-821.

    12. GLYCEMIE(AUGMENTATION) (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      DIABETE SUCRE LATENT
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    13. SYNDROME CUSHINGOIDE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    14. CATABOLISME AZOTE(AUGMENTATION) (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      VOIE GENERALE
    15. OSTEOPOROSE (CERTAIN FREQUENT)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE GENERALE
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
    16. TROUBLE PSYCHIQUE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ANTECEDENTS PSYCHIATRIQUES
      VOIE GENERALE
    17. EXCITATION PSYCHOMOTRICE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ANTECEDENTS PSYCHIATRIQUES
      VOIE GENERALE
    18. PSYCHOSE AIGUE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      ANTECEDENTS PSYCHIATRIQUES
      VOIE GENERALE
    19. HYPERTENSION INTRACRANIENNE (CERTAIN TRES RARE)
    20. CRISE CONVULSIVE (CERTAIN )
      Deux cas chez des enfants présentant une glomérulonéphrite, après administration intraveineuse :
      – Child Nephrol Urol 1991;11:41-43.
    21. CATARACTE (CERTAIN TRES RARE)
    22. GOITRE (CERTAIN TRES RARE)
    23. FRAGILITE CAPILLAIRE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      POSOLOGIE ELEVEE
      TRAITEMENT CONTINU
      TRAITEMENT PROLONGE
      VOIE GENERALE
    24. ATROPHIE CUTANEE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      INJECTIONS HYPODERMIQUES REPETEES
    25. GLAUCOME CHRONIQUE (CERTAIN RARE)
      Condition(s) Favorisante(s) :
      VOIE LOCALE
      TRAITEMENT PROLONGE

      En instillation oculaire et pommade ophtalmique.
      Traitement prolongé d’un an environ.
      Disparaît habituellement à l’arrêt du traitement.

    26. OSTEONECROSE ASEPTIQUE (CERTAIN )
      Un cas d’ostéonécrose multifocale deux ans après utilisation de fortes doses lors d’un choc septique (sel de méthylprednisolone non précisé) :
      – Clin Orthopaed Rel Res 1992;:176-179.
    27. BRADYCARDIE SINUSALE (CERTAIN TRES RARE)
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE

      Cinq cas chez des sujets traités par un gramme IV pour atrhite rhumatoïde, dont deux avec pauses sinusales :
      – Br J Rheumatol 1993;32,Suppl1:47.

    28. ARYTHMIE (A CONFIRMER )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE

      Un cas de flutter auriculaire, puis BAV, après injection IV d’une dose élevée (500 mg, sel de méthylprednisolone non précisé) :
      – Br J Rheumatol 1991;30:392-393.

    29. FIBRILLATION AURICULAIRE (A CONFIRMER )
      Condition(s) Exclusive(s) :
      VOIE INTRAVEINEUSE

      Un cas après administration IV :
      – Chest 1993;104:622-624.

    30. MYOPATHIE (A CONFIRMER )
      Deux cas sous méthylprednisolone (sel non précisé), avec retentissement ventilatoire :
      – Am Rev Resp Dis 1992;146:800-802.
    31. RASH (A CONFIRMER )
      Un cas lors de l’utilisation de la méthylprednisolone (sel non précisé) pour un purpura rhumatoïde :
      – Allergy 1992;47:436-438.
    32. CHOC ANAPHYLACTIQUE (CERTAIN )
      Un cas après injection intraarticulaire (imputabilité confirmée par test cutané) :
      – J Rheumatol 1997;24:1191-1194.
    33. HEMORRAGIE RETINIENNE (A CONFIRMER )
      Quatre cas, à la suite d’une injection épidurale (sel de méthylprednisolone non précisé) :
      – Arch Ophtalmol 1995;113:309-313.

    1. NON

    1. SPORTIFS
      Substance soumise à certaines restrictions :
      – Journal Officiel du 7 Mars 2000.
      L’administration des corticostéroïdes par voie orale, par voie rectale et par injection systémique est interdite.
      L’administration par inhalation et par voies anale, auriculaire, dermatologique, nasale et ophtalmologique n’est pas interdite.
      Les injections locales et intra-articulaires de corticostéroïdes ne sont pas interdites mais, lorsque le règlement d’une autorité responsable le prévoit, une notification peut s’avérer nécessaire.
    2. ULCERE GASTRODUODENAL(ANTECEDENT)
    3. TROUBLES PSYCHIQUES
    4. OSTEOPOROSE
    5. HYPERTENSION ARTERIELLE
    6. GROSSESSE
    7. INSUFFISANCE RENALE SEVERE
    8. ETAT INFECTIEUX
    9. TUBERCULOSE
    10. ASEPSIE RIGOUREUSE
      Condition(s) Favorisante(s) :
      LOCALE
    11. GLAUCOME
      En raison de l’augmentation de la pression intra-oculaire.
      Terrain : sujets génétiquement prédisposés.
      Surveillance ophtalmologique régulière en cas de traitement prolongé, surtout chez les sujets âgés:
      – Lancet 1997;350:979-982.

    1. ULCERE GASTRODUODENAL RECENT
    2. DIABETE
    3. KERATITE HERPETIQUE
    4. AMYLOSE
    5. INFECTION LOCALE
      Condition(s) Exclusive(s) :
      LOCALE

    Voies d’administration

    – 1 – INTRAMUSCULAIRE

    – 2 – INTRAARTICULAIRE

    – 3 – PERIARTICULAIRE

    – 4 – INTRATHECALE
    A réserver aux cas résistants aux autres voies d’administrat

    Posologie et mode d’administration

    Doses usuelles par voie intramusculaire :
    – Adulte : quarante à cent vingt milligrammes tous les 10 jours.
    – Enfant : un à deux milligrammes par kg par jour (déconseille sauf nécessité).

    Doses usuelles par voie intra et péri articulaire : quatre à
    quatre-vingts milligrammes tous les 10 jours.

    Modalités thérapeutiques variables suivant l’indication, le terrain et la tolérance.
    Ne jamais interrompre brutalement le traitement.
    Surveiller le poids, la température, l’appareil digestif, la numération
    globulaire, la glycémie, la radiographie du thorax.
    Surveillance ophtalmologique réguliere en cas de traitement prolongé.

    Pharmaco-Cinétique

    – 1 –
    ELIMINATION
    voie rénale

    – 2 –
    ELIMINATION
    voie biliaire

    – 3 –
    ELIMINATION
    voie fécale

    Répartition
    LIé à 80% aux protéines plasmatiques; à faible concentration, liaison avec la transcortine, à forte concentration, liaison avec l’albumine et augmentation de la forme libre.

    Métabolisme
    Hépatique:
    Réduction sur les doubles liaisons du cycle A.
    Réduction des groupes carbonyles en 3 et 20 donnant des composés inactifs ; réduction de la fonction cétonique en 11 donnant de la prednisolone.

    Elimination
    Voie rénale.
    Métabolites sulfo et glucuroconjugués.
    Voie biliaire:
    Faible partie.
    Voie fécale.
    faible partie.

    Bibliographie

    – Presse Med Fr 1970;78:1205 Et 1419.

    Spécialités

    Pour rechercher les spécialités contenant cette substance, consultez le site www.vidal.fr

    Principe actif présent en constituant unique dans les spécialités étrangères suivantes :


    Retour à la page d’accueil

Similar Posts